Exposition virtuelle de la collection des œuvres d’art de la ville

Huile sur toile – H60xL73
Hôtel de Ville, salle des mariages

Huile sur toile – H100XL80
Hôtel de ville, salle des mariages

Musée Michel Bourlet

Marie-Christine Haudry
Présidente du Comité Artistique de Deuil-La Barre depuis 2020.

Huile sur toile – H61XL73
Hôtel de ville, DGS

Charles Pollaci

Charles Pollaci est un artiste peintre et lithographe figuratif né à Nice le 19 octobre 1907 et mort à Quetteville le 29 juin 1988. Il quitta dans sa jeunesse sa ville natale de Nice pour gagner la capitale où, à Montmartre, il fréquenta l’Académie Frochot et reçut les conseils d’André-François Breuillaud et de Paul Mascart.

Il habita une maisonnette à Houilles et fut affilié à l’École de Pontoise – il en est considéré comme le chef de file – jusqu’en 1960, s’installant ensuite à Honfleur.
Mort en 1988 à Honfleur, Charles Pollaci repose au cimetière Sainte-Catherine de Honfleur.

Plaque d’impression – H30XL36

L42XH30

Musée Michel Bourlet

L59XH27

Musée Michel Bourlet

Plaque d’impression – H31XL19

H68XL48
Musée Michel Bourlet

Huile sur toile – H69XL98
Don de l’artiste

Musée Michel Bourlet

Huile sur toile – H70XL98
Musée Michel Bourlet

Dessin à la plume et encre de chine – H58XL40

Hôtel de ville, DGS

Plaque d’impression – H24XL32

Henri Hatrel

Il débute sa carrière professionnelle, le 1er octobre 1931, en tant que comptable à la Caisse Primaire des Mutualiste de Seine-et-Oise à Versailles. En 1939, il est désigné comme Directeur de cette même Caisse, métier qu’il exerce en Allemagne, au lendemain de la Guerre. En 1958, il est promu au poste de Directeur Général de l’URSSAF de paris, fonction qu’il assume jusqu’à son départ à la retraite en 1969.

La vie de Monsieur Hatrel est particulièrement consacrée à la vie politique locale.
En 1947, il est Conseiller Municipal sous le mandat de M. Mathieu Chazotte. Dès 1953, il est successivement, 3e et 2e Adjoint au Maire. Aux élections de 1959, il est Premier adjoint, et trois années plus tard, après le décès de Monsieur Chazotte, en décembre 1962, les Deuillois l’élisent premier notable de leur Ville. Le Conseil Municipal réuni en séance publique du jeudi 21 décembre, procède à l’élection de son nouveau Maire, Henri Hatrel.

Il dirigera la commune durant 27 années. En mars 1989, Jean-Pierre Delalande, Député, est élu Maire. C’est alors que Henri Hatrel devient Premier Adjoint. Son activité se porte plus précisément vers le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS). Par arrêté du Préfet du 19 janvier 1993, il devient Maire honoraire de Deuil-la-Barre. La même année, il reçoit la médaille de la Ville.

Henri Hatrel est l’initiateur de nombreux projets et réalisations à caractère social, culturel et sportif, qui verront le jour au travers de ses différents mandats.
En 1967, il est élu Conseiller Général du canton d’Enghien-les-Bains, en tant que Président de la Commission des Affaires Sociales, présidence qu’il quitte en 1976, pour celle des Finances qu’il occupe jusqu’en 1982.

Tout son temps n’est pas employé exclusivement à la politique, puisqu’il le consacre aussi à différentes administrations (hospitalières et sociales) et à la vie associative. En 1961, il crée le Comité Artistique de Deuil-la-Barre et en assume la présidence jusqu’en 1990. En 1967, il fonde le Comité National d’Action Sociale pour le Personnel des Collectivités territoriales dont il tient la Présidence jusqu’en 1992. Le CNAS est aujourd’hui reconnu sur le plan national.

Henri Hatrel est de nombreuses fois récompensé pour son dévouement, sa générosité et son grand cœur : Chevalier de la Légion d’Honneur, Officier de l’Ordre National du Mérite, Chevalier de l’Ordre des Palmes Académiques, Médaille d’Honneur Départementale pour 35 années de fonctions électives en 1982, Médaille de la Jeunesse et des Sports…

Huile sur toile – H44XL38
Don de Michèle Bourlet
Musée Michel Bourlet, grande salle

Michel Bourlet

Michel Bourlet naît à Eaubonne en 1941 et vient très rapidement habiter le quartier de La Barre, avec sa famille, pour ne plus quitter Deuil-La Barre. Il y fait toute sa scolarité. Intéressé très jeune par l’histoire locale, notamment dans le sillage de Maurice Gachelin, il partage son temps entre son métier d’instituteur et ses recherches historiques. Il recueille tout au long de sa vie de nombreux témoignages d’anciens de la commune ainsi que des documents historiques locaux.

En 1969, il prend la direction de l’école Pasteur I, fonction qu’il occupera jusqu’à sa retraite. Après avoir multiplié les expositions et les conférences, il convainc Henri Hatrel (maire de 1962 à 1989) de la nécessité d’ouvrir un Musée d’histoire locale, un projet concrétisé en 1984. D’une grande habileté manuelle, Michel Bourlet réalise des maquettes de qualité et très parlantes, appréciées des visiteurs depuis la création de l’équipement. L’année suivante, entouré de quelques enseignants et de passionnés d’histoire, il fonde le Cercle d’Études Historiques, devenu aujourd’hui Association pour l’Histoire et le Patrimoine de Deuil-La Barre.
Entre 1987 et 2005, il entreprend la rédaction de sept ouvrages sur l’histoire de la ville, laissant ainsi de précieux écrits à l’usage des Deuillois. C’est également lui qui a signé les textes des plaques historiques réparties dans la commune. Michel Bourlet laisse un patrimoine important qui continue d’être entretenu et enrichi par ses successeurs.

Encre sur papier – H34XL60
Musée Michel Bourlet

Huile sur carton toilé – H48XL43
Musée Michel Bourlet, grande salle

Huile sur toile – H37XL46
Don de Michèle Bourlet
Musée Michel Bourlet, grande salle

Huile sur toile – H46XL37
Don de Michèle Bourlet
Musée Michel Bourlet, grande salle

Le château du XVII^e d’après les plans de l’époque
Crayon sur papier – Don de Michèle Bourlet

Musée Michel Bourlet, grande salle

Dessin à la plume – H250XL280

Musée Michel Bourlet

Sculpture

Musée Michel Bourlet

Huile sur toile – H37XL45

Musée Michel Bourlet

Huile sur toile – H70XL53

Hôtel de Ville, Bureau N°7

Huile sur toile – H60XL73

Hôtel de Ville, Bureau N°7

Raymond Bétar

Raymond Bétar est né à Besançon en 1929. Il fit l’école des Beaux-Arts de Besançon en 1945 et 1946 et fut élève de R.Hafner et de Pillot.

Il fut membre du groupe du Salon Contrastes.
À partir de 1960, il participa aux salon de groupes dans les villes d’Epinay, Taverny, Nevers, Vichy, Montmorency, Pontoise, Conflans, L’Isle Adam, Montmagny et fut sociétaire des salons de Deuil-La Barre, Ermont, Enghien-les bains et Cormeille en Parisis…

Il reçut de nombreux prix, et ses oeuvres figurent dans les principales collections privées Françaises, Allemandes, Belges, Suisses, Anglaises, Italiennes et Américaines.

Tapisserie aux armes de Deuil tissée aux fils d’or 1990
(Œuvre achetée dans le cadre d’une exposition à la Salle des Fêtes)

Hôtel de Ville, Salle des Commissions

La tapisserie d’Aubusson est une chaîne humaine de savoir-faire unique. Une chaîne que font vivre aujourd’hui à Aubusson et à Felletin des producteurs, filateurs, teinturiers, ateliers, manufactures, peintres, cartonniers, galeries et bien sûr des artistes…

Deuil fut pendant plusieurs siècles la propriété de la famille Montmorency.
Les armoiries de la famille Montmorency montraient une croix avec dans chaque quart quatre petits aigles.
En 1402, le village devint possession d’une branche de la famille, qui brisa les armes familiales d’un quartier d’hermines.

Ces armoiries furent plus tard adoptées comme les armoiries de la ville.

Huile sur toile – H75XL60
(Toile achetée dans le cadre d’une exposition à Montmagny)

Hôtel de ville, salle des mariages

Raymond-René BLOC’H

Peintre Montmorencéen sentimental.

Il grandit à Paris avec son frère Robert Bloch, futur Robert Manuel, acteur et metteur en scène de la Comédie Française. Élève de Paul Albert Laurens (Portraitiste et affichiste du XXe siècle) et de Charles Ventrillon-Horber (Peintre décorateur de théâtre), il devient membre de la société des artistes français où il y expose lors des célèbres salons annuels de 1927 à 1939.

En 1936, élève aux Beaux-Arts, il rencontre France-Marie Letourneur, artiste peintre, qui deviendra son épouse. Toute leur vie durant, ils ont été animés par leur passion commune pour la peinture. Chacun à sa façon, ils n’ont cessé d’interroger l’art figuratif, faisant émerger de leurs toiles des lignes et des matières, mêlant narration et allégorie. Raymond-René Bloch devient directeur artistique de l’Académie Artistique au côté de Régis et Hulin.

Il réalisa plusieurs œuvres sur Deuil-La Barre et notamment l’église Notre- Dame, le plus vieil édifice de la commune dont les origines remontent au XIe siècle, ainsi que l’Hôtel de ville.

Huile sur toile

Musée Michel Bourlet

Huile sur toile

Musée Michel Bourlet